L’annonce par le gouvernement Grec de l’organisation d’un référendum sur le plan européen « d’aide » à la Grèce est une première avancée de la démocratie, face à la dictature de l’argent.
Que cela ne plaise pas au président français et à son gouvernement, cela n’étonnera personne, eux qui se sont assis sur le NON majoritaire au référendum de 2005 sur le traité constitutionnel. Ils ont bafoué le peuple français, et lui on volé son libre choix !
Les politiques d’austérité qui sont en train de détruire la Grèce, et qui s’étendent progressivement dans le reste de l’Europe, doivent être stoppées.
Partout les citoyens ne se reconnaissent plus dans une classe politique inféodée aux dogmes et aux intérêts de la finance. « Vous ne nous représentez pas ! », ce cri des Indignés à la classe politique, est devenu une évidence.
La décision de M. Papandréou, pourtant représentant archétypique de l’oligarchie politique grecque, de donner la parole au peuple est donc une bonne nouvelle. Elle est la marque d’un rapport de force interne à la Grèce, où les grève générales se succèdent à un rythme accéléré.
Oui, mobilisés, actifs, et déterminés, un peuple peu gagner contre les prédateurs, les exploiteurs, et les jouisseurs en tout genre !
Il faut que cela change ! En Grèce, comme en France ! Ensemble, avec le Front de Gauche et son candidat Jean-Luc Mélenchon !